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Hospitalisation d'office

Professionnels de la santé

Les articles de référence professionnelle sont destinés aux professionnels de la santé. Ils sont rédigés par des médecins britanniques et s'appuient sur les résultats de la recherche ainsi que sur les lignes directrices britanniques et européennes. Vous trouverez peut-être l'un de nos articles sur la santé plus utile.

Les personnes qui prennent des mesures sans le consentement du patient doivent s'efforcer de limiter au maximum les restrictions qu'elles imposent à la liberté du patient, compte tenu de l'objectif pour lequel ces restrictions sont imposées.1 Le patient doit souffrir de troubles mentaux, c'est-à-dire de tout trouble ou incapacité de l'esprit (mais l'alcoolisme et/ou la toxicomanie ne suffisent pas à eux seuls) pour détenir une personne en vertu de la loi sur la santé mentale (Mental Health Act).

Les troubles mentaux du patient doivent nécessiter une hospitalisation pour évaluation ou traitement et la détention doit être nécessaire dans l'intérêt de la santé ou de la sécurité du patient, ou en vue de la protection d'autrui. La loi de 1983 sur la santé mentale (Mental Health Act 1983) fournit un cadre légal pour la détention non consensuelle de patients à l'hôpital. La loi de 1983 sur la santé mentale a été modifiée par la loi de 2007 sur la santé mentale. Elle s'applique aux personnes vivant en Angleterre et au Pays de Galles. Il existe des directives distinctes pour l'Écosse et l'Irlande du Nord - voir la section Lectures complémentaires.

La loi sur la capacité mentale (2005) autorise l'admission à l'hôpital d'une personne dépourvue de capacité, qui se néglige elle-même et devient sous-alimentée, pour y être soignée, à condition que son traitement à l'hôpital n'équivaille pas à une privation de liberté. La loi sur la capacité mentale (2005) ne s'applique pas au traitement des troubles mentaux administré conformément aux règles relatives au traitement obligatoire énoncées dans la loi sur la santé mentale.

La loi de 2012 sur la santé et les services sociaux (Health and Social Services Act 2012) a transféré certains pouvoirs et fonctions des Strategic Health Authorities et des Primary Care Trusts établis par la loi de 1983 sur la santé mentale (et ses modifications de 2007) aux Clinical Commissioning Groups et au NHS Commissioning Board (Conseil de mise en service du NHS). Ces changements étaient principalement d'ordre technique.2

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Loi sur la santé mentale 20073

NB : Des modifications de la loi sur la santé mentale ont été présentées au Parlement en novembre 2024. On espère que les "réformes introduiront des plans de soins et de traitement légaux, mettront fin à l'utilisation des cellules de la police et des prisons pour placer les personnes en crise de santé mentale, et mettront fin à la détention inappropriée des personnes autistes et des personnes ayant des troubles de l'apprentissage".4

Les principales modifications apportées à la loi de 1983 sur la santé mentale par la loi de 2007 sur la santé mentale sont les suivantes :

  • Définition des troubles mentaux: une seule définition des troubles mentaux s'applique à l'ensemble de la loi.

  • Critères de détention: elle introduit un nouveau critère de "traitement médical approprié" qui s'appliquera à tous les pouvoirs de détention à long terme. Désormais, il n'est pas possible de placer un patient en détention forcée s'il ne dispose pas d'un traitement médical approprié.

  • Rôles professionnels: elle élargit le groupe de praticiens qui peuvent assumer les fonctions précédemment exercées par le travailleur social agréé (TSA) et le médecin responsable (MR).

  • Le parent le plus proche (PN): il donne aux patients le droit de demander au tribunal de comté de remplacer leur PN et permet aux tribunaux de comté de remplacer un PN qui, selon eux, n'est pas apte à agir en tant que tel. Les dispositions relatives à la détermination du RN ont été modifiées afin d'inclure les partenaires civils dans la liste des parents.

  • Traitement communautaire supervisé (TSC) : il introduit le TSC pour les patients à la suite d'une période de détention à l'hôpital (voir section 17a, ci-dessous). Cela permet aux patients souffrant de troubles mentaux d'être libérés de la détention, avec la possibilité d'être rappelés à l'hôpital si nécessaire.

  • Électroconvulsivothérapie (ECT): elle introduit de nouvelles garanties pour les patients :

    • Si un patient détenu est capable, il peut décider s'il souhaite subir un électrochoc, sauf en cas d'urgence.

    • Un patient détenu disposant d'une décision anticipée valide s'opposant à l'administration d'ECT ne peut pas être traité par cette technique, sauf en cas d'urgence.

  • Tribunal: il réduit les délais à l'issue desquels les directeurs d'hôpitaux doivent soumettre le cas de certains patients au Tribunal s'ils ne le font pas eux-mêmes et introduit un pouvoir d'ordonnance pour procéder à d'autres réductions en temps utile.

  • Défense des droits: il incombe à l'autorité nationale compétente de prendre des dispositions pour que des défenseurs indépendants de la santé mentale puissent apporter leur aide.

  • Services adaptés à l'âge: les directeurs d'hôpitaux doivent veiller à ce que les patients âgés de moins de 18 ans qui sont admis à l'hôpital pour des troubles mentaux soient hébergés dans un environnement adapté à leur âge (en fonction de leurs besoins).

Rôles professionnels

  • Le travailleur social agréé (ASW) doit être remplacé par un professionnel de la santé mentale agréé (AMHP). Un AMHP peut être un travailleur social, un infirmier, un ergothérapeute ou un psychologue, qui a suivi une formation spécialisée et a été approuvé pour agir dans ce rôle par une autorité locale de services sociaux. Un médecin agréé ne peut pas être un AMHP.

  • Les recommandations médicales doivent être faites par deux médecins, l'un des deux devant être agréé au titre de l'article 12 (tous les cliniciens agréés (CA) sont réputés être également agréés).

  • Le clinicien approuvé : un AC est une personne approuvée par l'autorité nationale appropriée pour agir en tant qu'AC aux fins de la loi. Le pouvoir d'approbation est détenu par les Strategic Health Authorities mais peut être délégué aux Primary Care Trusts (PCT). Pour agir en tant que clinicien responsable d'un patient, un professionnel doit d'abord être approuvé en tant que CA. Le CA chargé d'un épisode ou d'un type de traitement particulier peut être ou non le clinicien responsable (CR).

  • Le clinicien responsable) : le CR d'un patient est défini comme le CA qui a la responsabilité globale du cas du patient. Tous les patients soumis à la détention ou au SCT ont un CR, qui peut être un médecin, un infirmier, un ergothérapeute, un psychiatre, un psychologue ou un travailleur social.

Rôle du médecin généraliste dans l'organisation de l'hospitalisation d'office5

  • Le médecin généraliste a souvent une connaissance détaillée du patient, ce qui facilite la prise de décision quant à l'utilisation des pouvoirs obligatoires. Le rôle du médecin généraliste peut également consister à organiser ou à effectuer des évaluations en vue d'une éventuelle hospitalisation d'office.

  • Après une première évaluation, l'étape suivante consiste à discuter du cas avec un psychiatre et, si nécessaire, à demander la visite à domicile d'un psychiatre agréé.

  • Si le psychiatre estime qu'un patient a besoin d'être hospitalisé mais qu'une admission informelle n'est pas appropriée, un AMHP ou un proche parent doit être contacté pour prendre des dispositions en vue d'une "demande" formelle.

  • La détention d'un patient pour le traitement d'un trouble mental nécessite une "demande" formelle de la part du RN ou, de préférence, de l'AMHP. Il est désormais très rare qu'un NR soit le demandeur et il est généralement admis qu'un AMHP devrait remplir ce rôle afin d'éviter tout conflit familial ou tout conflit d'intérêt potentiel.

  • Dans les cas où le processus doit se dérouler rapidement et où il n'est pas pratique qu'un psychiatre vienne examiner le patient avant son admission obligatoire, le médecin généraliste peut s'adresser directement à l'AMHP ou au RN.

  • L'admission informelle doit toujours être considérée comme la première option.

  • Recommandations médicales pour la demande d'admission d'office :

    • Avant qu'une demande d'admission à l'hôpital puisse être faite, deux médecins (qui ont tous deux examiné le patient) doivent donner une "recommandation médicale". L'un des médecins doit être agréé en vertu de la loi sur la santé mentale - généralement un psychiatre consultant (mais un médecin généraliste peut demander à être agréé en vertu de l'article 12(2) de la loi sur la santé mentale). Si possible, l'un des médecins (par exemple, le médecin généraliste) doit avoir déjà rencontré le patient.

    • Toutefois, une demande d'admission d'urgence ne nécessite qu'une seule recommandation médicale, qui peut être fournie par un médecin généraliste.

  • Il arrive que l'on demande aux médecins généralistes d'examiner un patient à l'hôpital et de fournir une deuxième recommandation médicale pour la détention d'un patient déjà admis volontairement ou déjà détenu en vertu d'une autre section (par exemple, la section 4, l'admission d'urgence).

  • Une recommandation médicale ne doit pas être donnée en cas de conflit d'intérêts.

  • Le CR remplace le rôle de l'OGR, qui est responsable de l'ensemble des soins prodigués au patient placé sous section. Cette personne a le pouvoir d'accorder des congés et des sorties.

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Section 2 : admission à l'évaluation6

  • La période d'évaluation (et de traitement) dure jusqu'à 28 jours et n'est pas renouvelable.

  • Les appels des patients doivent être envoyés dans les 14 jours au tribunal de la santé mentale (composé d'un médecin, d'un profane et d'un avocat).

  • Un AMHP ou le NR fait la demande sur recommandation de deux médecins, dont l'un est "approuvé" en vertu de l'article 12(2) de la loi (en pratique, un psychiatre consultant ou un médecin spécialiste ayant une expérience suffisante). La seconde recommandation médicale est donnée par un médecin qui connaît personnellement le patient à titre professionnel. Si cela n'est pas possible, le code de pratique recommande que le deuxième médecin soit un médecin "agréé".

Section 3 : admission pour traitement (jusqu'à six mois)6

  • Le trouble mental exact doit être indiqué.

  • La détention est renouvelable pour une période de six mois (puis annuellement).

  • Deux médecins doivent signer les formulaires appropriés et savoir pourquoi le traitement dans la communauté est contre-indiqué. Ils doivent avoir vu le patient dans les 24 heures et il ne peut y avoir plus de cinq jours francs entre le moment où le premier médecin a vu le patient et le moment où le deuxième médecin l'a vu. Ils doivent indiquer que le traitement est susceptible d'être bénéfique pour le patient ou d'empêcher sa détérioration, ou qu'il est nécessaire pour la santé ou la sécurité du patient ou la protection d'autrui. L'AMHP dispose de 14 jours après que le second médecin a signé sa recommandation pour faire une demande à l'hôpital.

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Section 4 : traitement d'urgence (jusqu'à 72 heures)6

  • L'admission à l'hôpital doit être une nécessité urgente.

  • Peut être utilisé si l'admission au titre de la section 2 entraînerait un retard indésirable (l'admission doit suivre rapidement la recommandation).

  • Un AMHP ou, très rarement, le RN fait la demande après recommandation d'un médecin (par exemple, le médecin généraliste).

  • Le médecin généraliste doit conserver les formulaires nécessaires, car l'AMHP peut être introuvable.

  • Il est généralement converti en section 2 à l'arrivée à l'hôpital, sur recommandation du psychiatre de garde. Si la deuxième recommandation n'est pas suivie, le patient doit sortir dès que la décision de ne pas convertir la section 2 est prise. La section ne doit pas devenir caduque.

Article 5, paragraphe 2 : détention d'un patient déjà hospitalisé (jusqu'à 72 heures)6

  • Le médecin responsable (ou, dans le cas d'un psychiatre consultant, son adjoint) s'adresse aux responsables de l'hôpital, de jour comme de nuit, de sorte qu'il est souvent utile d'obtenir rapidement une prise en charge conjointe de ces patients avec un psychiatre consultant. L'AMHP de permanence doit être informé dès qu'un 5(2) est appliqué, car il est chargé de coordonner l'évaluation complète au titre de la loi sur la santé mentale (Mental Health Act) qui doit s'ensuivre.

  • Un patient se trouvant dans un service d'urgence n'est pas un patient hospitalisé et ne peut donc pas être détenu en vertu de cette section. La contention autorisée par la loi sur la capacité mentale (Mental Capacity Act) ou la Common Law est tout ce qui est disponible pour fournir une contention temporaire aux personnes qui représentent un danger manifeste pour elles-mêmes ou pour les autres en attendant l'évaluation d'un psychiatre.

  • Planifier le transfert du patient avant l'expiration des 72 heures - par exemple, en se mettant en rapport avec des psychiatres pour une admission au titre de l'article 2.

Article 5, paragraphe 4 : pouvoirs de rétention des infirmiers (jusqu'à six heures)6

  • Tout infirmier psychiatrique habilité peut recourir à la force pour retenir un patient "mental" volontaire qui prend sa propre décision de sortie contre l'avis du médecin, si cette décision est susceptible d'entraîner des dommages graves pour le patient (par exemple, un suicide) ou pour d'autres personnes.

  • Pendant ces six heures, l'infirmière doit trouver le personnel nécessaire pour signer une demande en vertu de l'article 5(2) ou autoriser la sortie du patient.

Section 7 : demande de tutelle6

  • Cela permet aux patients de recevoir des soins de proximité lorsqu'ils ne peuvent pas être fournis sans recourir à des pouvoirs obligatoires.

  • La demande est faite par une AMHP ou, très rarement, par le RN et nécessite également deux recommandations médicales.

  • Le tuteur, généralement un travailleur social, peut exiger que le patient vive dans un lieu déterminé, qu'il se rende dans des lieux déterminés pour son traitement et qu'il permette aux personnes autorisées d'y accéder.

Section 17a : Traitement communautaire supervisé (ordonnance de traitement communautaire)7

L'article 25 de la loi de 1983 sur la santé mentale a été supprimé et remplacé par l'article 17a de la loi de 2007 sur la santé mentale, qui prévoit un traitement communautaire supervisé (TSC) :

  • Une demande de TSC - anciennement appelée ordonnance de traitement communautaire (OTC) - peut être faite par le CR avec une recommandation d'un AMHP à l'appui.

  • Les autres personnes qui doivent être consultées sont le NR (sauf si le patient s'y oppose), les soignants (sauf si le patient s'y oppose), toute personne habilitée à agir au nom du patient, le médecin généraliste du patient, l'équipe multidisciplinaire impliquée dans les soins du patient et tout autre professionnel concerné.

  • Pour être éligible au SCT, un patient doit être susceptible d'être détenu en vertu de la section 3 ou soumis à certaines dispositions spécifiques de la partie III de la loi sur la santé mentale (c'est-à-dire une ordonnance d'hospitalisation, une directive d'hospitalisation ou une directive de transfert sans restrictions).

  • Un GCS ne peut être effectué que si le CR estime que les "critères pertinents" sont remplis et qu'un AMHP déclare par écrit qu'il est d'accord avec cette opinion et qu'il est approprié d'effectuer un GCS.

  • La loi sur la santé mentale de 2007 stipule que le TSC doit être envisagé dans les cas suivants :

    • Le patient souffre de troubles mentaux d'une nature ou d'un degré tels qu'il est approprié qu'il reçoive un traitement médical.

    • Il est nécessaire pour leur santé ou leur sécurité ou pour la protection d'autres personnes qu'elles reçoivent ce traitement.

    • Ce traitement peut être dispensé sans qu'ils ne soient maintenus en détention dans un hôpital.

    • Un traitement médical approprié est disponible pour le patient.

    • Il est nécessaire pour leur santé ou leur sécurité ou pour la protection d'autres personnes que le CR puisse exercer le pouvoir de rappeler le patient à l'hôpital.

Article 20(4) : renouvellement de la détention obligatoire à l'hôpital7

  • Le patient continue de souffrir de troubles mentaux et bénéficierait d'un traitement hospitalier continu.

  • Une admission supplémentaire est nécessaire pour la santé ou la sécurité du patient - ce qui ne peut être réalisé que par une détention forcée.

Section 117 : postcure et approche du programme de soins7

  • L'article 117 exige la mise en place d'un suivi pour les patients qui ont été détenus dans le cadre des sections à long terme (3, 37, 47 ou 48).

  • L'approche du programme de soins (CPA) ne fait pas partie de la loi, mais elle stipule qu'aucun patient ne doit sortir sans avoir bénéficié d'un suivi planifié : évaluation systématique des besoins sanitaires et sociaux, plan de soins convenu, désignation d'un collaborateur clé et examen régulier des progrès accomplis.

Article 136 (jusqu'à 72 heures)7

  • Permet à la police d'arrêter une personne "dans un lieu auquel le public a accès" et dont on pense qu'elle souffre de troubles mentaux.

  • Le patient doit être transporté dans un "lieu sûr" (généralement un service d'urgence désigné) pour être évalué par un médecin (généralement un psychiatre) et un travailleur social agréé.

  • Le patient doit être libéré après évaluation ou détenu en vertu de l'article 2 ou 3. Le patient peut également accepter l'offre d'une admission volontaire à l'hôpital.

Article 1357

  • Cette disposition permet à un AMHP qui estime qu'une personne est maltraitée ou qu'elle se néglige elle-même de demander à un magistrat un mandat pour rechercher et emmener ces patients dans un lieu sûr afin de procéder à une évaluation au titre de la loi sur la santé mentale (Mental Health Act).

  • L'AMHP ou un médecin agréé doit accompagner la police.

Les articles 135 et 136 sont en cours de révision. On s'est demandé si un poste de police était un lieu approprié pour détenir des personnes souffrant d'une crise de santé mentale, en particulier des jeunes, et si la durée maximale de détention de 72 heures était trop longue.8

EMIS souhaite remercier Nick Woodhead, coordinateur de la loi sur la santé mentale, Somerset Partnership NHS Trust, pour sa contribution à cet article.

Autres lectures et références

  1. Loi de 2007 sur la santé mentale
  2. Loi de 2012 sur la santé et les soins sociauxLes Archives nationales
  3. Évaluation post-législative de la loi sur la santé mentale de 2007Département de la santé, 2012
  4. Des réformes majeures pour une meilleure prise en charge des patients souffrant de troubles mentauxMental Health Act reformed to improve treatment of patients and address disparities, GOV.UK, novembre 2024.
  5. Barcham CUnderstanding the Mental Health Act changes - challenges and opportunities for doctors (Comprendre les changements de la loi sur la santé mentale - défis et opportunités pour les médecins), BJMP 2008:1(2) 13-17.
  6. Loi sur la santé mentalementalhealthcare.org.uk, 2013
  7. Code de pratique Loi sur la santé mentale de 1983Département de la santé, 2012
  8. Examen du fonctionnement des articles 135 et 136 de la loi sur la santé mentaleGOV.UK, 2014

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Historique de l'article

Les informations contenues dans cette page sont rédigées et évaluées par des cliniciens qualifiés.

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